S’agissant des relations entre les citoyens et le Parlement, la situation est doublement paradoxale : du point de vue des citoyens, d’une part, et du point de vue du développement de ces dispositifs d’association des citoyens aux processus de décision, d’autre part.
On perçoit en effet un état de défiance très profond des citoyens à l’égard des institutions politiques, une indifférence croissante vis-à-vis d’une vie politique perçue comme étrangère à leurs préoccupations,presque inutile. Pour un certain nombre de citoyens, le pouvoir politique ayant abdiqué, n’ayant plus d’influence sur les choses, il n’est plus vraiment nécessaire ni de voter ni de s’intéresser à la vie politique.
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